«Être confronté à la mort n’est pas anodin»

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N° 396 - Publié le 27 janvier 2022
CHU DE RENNES
Erwan Flécher a mené une étude auprès de ses confrères pour connaître leur ressenti face au décès des patients.

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En cardiologie, les médecins doivent régulièrement faire face au décès de leurs patients. Une étude initiée à Rennes revient sur les conséquences psychologiques que cela entraîne pour ces professionnels.

Un tabou se lève dans le milieu médical. « Il n’y a rien de plus normal que d’être affecté par la mort d’un patient, mais il ne faut pas que cela devienne pathologique. » Erwan Flécher, chirurgien cardiaque au CHU de Rennes, vient de mener une étude sur les ressentis du personnel médical face à la mort. « 750 médecins1 français spécialisés en cardiologie ont répondu à notre questionnaire en ligne. Parmi eux, 22 % ont recours à des substituants tels que l’alcool, la drogue ou les anxiolytiques...
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