Pour des coquillages en bonne santé

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N° 354 - Publié le 5 septembre 2017
Magnus Manske

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Une vingtaine de partenaires européens s’unissent pour combattre les maladies des mollusques bivalves.

À cause des maladies, la palourde n’est plus cultivée dans le Finistère depuis 1995, tandis que les huîtres creuses ont subi d’importantes pertes ces dernières années. Le projet européen(1) Vivaldi(2) coordonné par l’Ifremer, a débuté il y a un an pour lutter contre les virus et bactéries infectant les élevages conchylicoles. Un premier bilan a été réalisé. Christine Paillard, chercheuse à l’Institut universitaire européen de la mer, à Brest, est responsable d’un groupe de travail sur l’effet de l’environnement. « Chez l’huître, les maladies explosent lorsque l’eau de mer est entre 16 °C et 24 °C », explique-t-elle en citant un de ces projets de recherche. Il est donc possible de réduire la mortalité en planifiant l’immersion des naissains selon la température. Autre axe de travail, une sélection génétique est en cours pour obtenir des palourdes résistantes à la bactérie responsable de leur disparition. De leur côté, les chercheurs de l’Ifremer de Brest ont développé des capteurs pour détecter plus facilement les pathogènes dans l’eau.

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